Une prestation de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 a scandalisé la communauté chrétienne et une partie de la toile. Le tableau nommé « Festivité » est considéré comme une parodie de la Cène représentant le dernier repas de Jésus et ses apôtres. Focus
C’est une prestation assez choquante qui s’est déroulé, ce vendredi, durant la cérémonie d’ouverture des JO. Une séquence intitulée « Festivité » a parodié la Cène – de Léonard de Vinci – représentant le dernier repas de Jésus avec ses apôtres.
La parodie, qui incluait drag queens, mannequin transgenre et chanteur quasiment nu peint en bleu, a attiré les critiques des chrétiens de toute la francophonie. Plusieurs pays diffuseurs de la cérémonie ont censuré les images durant cette séquence.
Une moquerie du Christianisme
Lors de la cérémonie d’ouverture des JO, une séquence jugée offensante mettant en scène une parodie du dernier souper de Jésus, avec ses douzes apôtres, a choqué la toile. Des drag queens entouraient la DJ française Barbara Butch, tandis que le chanteur Philippe Katerine, nu et peint en bleu, incarnait le dieu grec Dionysos émergeant d’un plat géant.
La cérémonie « a malheureusement inclus des scènes de dérision et de moquerie du christianisme », a déploré dans un communiqué publié samedi la Conférence des évêques de France. Le leader de LFI, Jean-Luc Mélenchon, a également critiqué la parodie sur son blog :
« Je n’ai pas aimé la moquerie sur la Cène chrétienne, dernier repas du Christ et de ses disciples, fondatrice du culte dominical. (…) à quoi bon risquer de blesser les croyants ? Même quand on est anticlérical ! »
En Italie, le ministre Matteo Salvini a déclaré qu’ouvrir les JO « en insultant des milliards de chrétiens dans le monde entier est un mauvais départ ».
Le CIO s’excuse mais assume
Aux États-Unis, NBC a diffusé des spots publicitaires et des images des équipes américaines pendant la parodie controversée. La chaîne publique marocaine SNRT a choisi de passer à des images de Paris, pour censurer la séquence. En Australie et en Chine, les réactions ont été à la fois embarrassées et outrées.
Face au tollé, Devant le tollé, Anne Descamps, directrice de la communication de Paris 2024, a tout de même présenté ses excuses aux personnes qui se sont senties touchées :
« Clairement notre intention n’était pas d’afficher un manque de respect à quelque groupe religieux que ce soit. A l’inverse, notre intention était de montrer de la tolérance et de la communion. Si des gens ont été offensés, nous nous en excusons »
Dans un communiqué, publié hier, le Comité international olympique (CIO) a annoncé avoir « pris note » des réactions et « salue la clarification apportée par le comité d’organisation de Paris concernant la cérémonie d’ouverture ».
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Une réponse
Mais ils sont vraiment cons de dire que leur intention n’était pas de blesser, ils s’attendaient à quoi ces irresponsables, à des applaudissements?
Des lâches qui n’assument même pas leur malveillance.
Et surtout on connaît le pro-sionsime du directeur des ouvertures des JO et de ses orientations idéologiques en matière de sexualité. Beurk, à vomir.