Dans un court billet publié sur Mizane.info, Daniel Milan expose de manière synthétique les ressorts idéologiques, politiques et économiques du système.
Le Système repose sur l’argent, l’hyper-consommation sans fin, la division, la nécessité d’inventer un ennemi intérieur et extérieur, des leurres, le contrôle et l’encadrement des oppositions, qui deviennent des connivences.
Le but est d’assurer la domination économique et idéologique de castes sur le reste d’un pays, voire, du monde par l’élimination de ceux qui les dérangent et de tout ce qui pourrait amener les hommes à penser.
Les libertés, les possibilités de vivre et de penser autrement, les hommes et les femmes qui pensent, leur insupporte sont leur obsession et les cibles de leur « législatomania » répressive.
L’homme ne doit penser, qu’en fonction de ce que les castes dirigeantes lui ordonnent de penser.
Il n’est toléré que dans la mesure où il se soumet aux idoles imposées.
Il n’est considéré que comme un objet à éliminer dès lors qu’il a cessé de leur rapporter ou de leur être utile.
Le système vise à maintenir l’homme en esclavage. Esclave d’un salaire permettant juste de survivre.
Esclave du paiement d’un loyer du montant d’un salaire, esclave d’un crédit…
Hormis celui de consommer, le système ne concède à l’homme qu’une seule liberté politique, lors des élections, celle de » choisir » parmi les candidats cooptés par les castes dirigeantes et légitimer par son bulletin de vote, le représentant du système à la tête de l’État qui va nous asservir toujours davantage.
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